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La Traque les criminels de guerre et moi
Je viens de lire le livre « La Traque les criminels de guerre et moi » de Carla del Ponte (l'ancienne procureure général du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) et du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY)). Delle décrit aussi leur visites des sites du génocide et leur problème avec le gouvernement rwandais : Carla del Ponte avait annonce son intention de poursuivre aussi des personnalités du FPR (Tutsi), et ouvre une enquête officielle et elle fut dès lors l'objet de pressions de la part de Paul Kagame, qui empêcha la procédure. 2003, le Conseil de sécurité des Nations unies ne renouvela pas le mandat de Carla Del Ponte comme procureure général du TPIR. Elle dut de fait quitter le TPIR, sans que la moindre inculpation d'un quelconque responsable du FPR n'eût été menée.No comments - Edit - Delete
Documents a telecharger
http://pauvrete.samatha.eu/No comments - Edit - Delete
Parité de pouvoir d'achat
Le pouvoir d'achat d’une quantité donnée d’argent dépend en effet du coût de la vie, c’est-à-dire du niveau général des prix.Les taux de change PPA sont utilisés avant tout dans les comparaisons internationales de niveau de vie. La comparaison internationale des PIB conduit à ne pas prendre en compte les différences de prix existant entre les pays. Les écarts entre les taux de change réels et les taux de change PPA peuvent être significatifs !
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Indice de développement humain
L'indice de développement humain , ou IDH, est un indice statistique composite, créé par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en 1990 pour évaluer le niveau de développement humain des pays du monde.L'IDH est un indice composite, sans dimension, compris entre 0 (exécrable) et 1 (excellent), calculé par la moyenne de trois indices quantifiant respectivement[3] :
* la santé /longévité (mesurées par l'espérance de vie à la naissance), qui permet de mesurer indirectement la satisfaction des besoins matériels essentiels tels que l'accès à une alimentation saine, à l'eau potable, à un logement décent, à une bonne hygiène et aux soins médicaux. En 2002, la Division de la population des Nations Unies a pris en compte dans son estimation les impacts démographiques de l'épidémie du sida pour 53 pays, contre 45 en 2000.
* le savoir ou niveau d'éducation. Il est mesuré par le taux d'alphabétisation des adultes (pourcentage des 15 ans et plus sachant écrire et comprendre aisément un texte court et simple traitant de la vie quotidienne) et le taux brut de scolarisation (mesure combinée des taux pour le primaire, le secondaire et le supérieur). Il traduit la satisfaction des besoins immatériels tels que la capacité à participer aux prises de décision sur le lieu de travail ou dans la société.
* le niveau de vie (logarithme du produit intérieur brut par habitant en parité de pouvoir d'achat), afin d'englober les éléments de la qualité de vie qui ne sont pas décrits par les deux premiers indices tels que la mobilité ou l'accès à la culture.
Les données utilisées sont celles communiquées par les États à l'ONU. L'IDH est toujours publié avec un certain retard, car calculé à partir de chiffres généralement collectés deux ans plus tôt.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:UN_Human_Development_Report_2008.svg
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Indicateur de pauvreté
Un indicateur de pauvreté humaine (IPH) est un indice permettant de caractériser le niveau de pauvreté d'un pays. Il a été créé par le programme des Nations unies pour le développement (PNUD).La pauvreté est essentiellement estimée par le nombre de personnes vivant avec un revenu en dessous d'un niveau dit « de pauvreté », qui est en 2002 de 2 USD par jour. D'autres niveaux de pauvreté sont fixés à 1, 4 et 11 USD par jour, ce qui permet d'affiner l'analyse ; le niveau de revenu de 1 USD par jour est appelé « niveau d'extrême pauvreté ».
Le PNUD utilise également des indicateurs indirects, qui mesurent l'impact de la pauvreté sur la population, et qui servent à calculer des indicateurs composites de pauvreté des revenus et des humains IPH-1 et IPH-2 (indice de pauvreté humaine), ou HPI-1 et HPI-2 (human poverty index) :
* l'IPH-1, plutôt adapté au classement des pays pauvres ainsi que des pays en développements, est calculé à partir des indicateurs suivants :
o indicateur de longévité (P1);
o indicateur d'instruction (P2);
o indicateur de conditions de vie (P3);
* l'IPH-2, plutôt adapté au classement des pays riches (il est utilisé pour la plupart des pays de l'OCDE), calculé à partir des indicateurs suivants
o indicateur de longévité (P1);
o indicateur d'instruction (P2);
o indicateur de conditions de vie (P3);
o indicateur d'exclusion (P4).
Les IPH n'ont pas d'unité de mesure mais sont exprimés en pourcentage, non de la population mais simplement résultant des formules utilisées ci-dessous (voir cet aspect à analyse dimensionnelle): plus un IPH est élevé, plus un pays est "pauvre".
En 2000,
* l'IPH-1 (pays en développement) variait de 6,5 % (Singapour) à 62,5 % (Niger) ;
* l'IPH-2 (pays développés) variait de 6,7 % (Suède) à 15,8 % (États-Unis).
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Classement par Indicateur de pauvreté des pays en 2000
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Pauvreté
La pauvreté est l'insuffisance de ressources matérielles, comme la nourriture, l’accès à l’eau potable, les vêtements, le logement, et des conditions de vie en général, mais également de ressources intangibles comme l’accès à l’éducation, l’exercice d’une activité valorisante, le respect reçu des autres citoyens.La pauvreté pécuniaire ou de revenu , résulte d'une insuffisance de ressources, et est estimée au moyen de seuils de pauvreté (un individu est considéré comme pauvre lorsque son niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté choisi). Différentes définitions de ces seuils existent ; les pays développés utilisent généralement des seuils relatifs, alors que la pauvreté dans les pays en développement est estimée au moyen de seuils de pauvreté absolus.
Seuil de pauvreté
Le seuil de pauvreté est un niveau de revenus au-dessous duquel un ménage est considéré comme pauvre. Ce seuil prend des valeurs radicalement différentes selon les pays considérés : pays développés ou pays en développement.
Le seuil de pauvreté peut être défini de manière absolue (en fonction d'un panier de consommation minimale) ou relative (en pourcentage du revenu médian ou moyen).
Les facteurs individuels sont pris en compte pour adapter la notion à la diversité des situations, par exemple les charges familiales, l’âge, ou encore le nombre de personnes vivant dans le ménage.
Seuil de pauvreté absolue
Pour déterminer le seuil de pauvreté, on cherche généralement à établir combien coûtent au total toutes les ressources essentielles qu’en moyenne un adulte consomme en un an. Cette approche se fonde sur l’évaluation qui est faite de la dépense minimale pour assurer un niveau de vie tolérable.
Il existe plusieurs méthodes d'évaluation absolue de la pauvreté. Une de ces méthodes est fournie par la Banque mondiale, avec comme critère un seuil normatif d'un dollar (de 1990) par personne et par jour ; un seuil de deux dollars est également couramment employé.
Le nombre de personnes sous ce seuil dans un pays est délicat à estimer : d'une part, les pays concernés n'ont pas les moyens de tenir des statistiques nationales détaillées, d'autre part, à ce niveau de revenu, il faut tenir compte d'activités non marchandes, comme l'autoconsommation ou l'accès possible à des services publics. Cette méthode s'applique essentiellement dans le cadre des comparaisons internationales entre pays.
Afin de pouvoir faire des comparaisons internationales, les seuils doivent être exprimés en parité de pouvoir d'achat, ce qui permet de s'affranchir des différences de pouvoir d'achat des différentes devises.
Dans certains pays industrialisés comme les États-Unis ou le Canada, c'est aussi un seuil absolu qui est utilisé[1] ; il correspond à un panier de biens et services essentiels, et il est mis à jour en fonction de l'évolution du coût de la vie.
Seuil de pauvreté relative
Cette méthode de calcul tient compte du niveau de vie d'un pays. Le plus souvent, on utilise une fraction du revenu médian : 50 % pour la France, 60 % pour l'Union européenne (Eurostat).
Mais elle est davantage une mesure d'une certaine inégalité de répartition des revenus qu'une véritable mesure de la pauvreté : si le revenu de tous les habitants augmente de 20 %, le seuil augmente lui aussi de 20 %, et le taux de pauvreté reste identique.
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Le système d'étude au Cameroun est le suivant :
* - MATERNELLE : 3 classes: - petite section , moyenne section et grande section .
* - -PRIMAIRE : 5 classes : le CP( cours préparatoire) , ensuite
* - CEI ( cours élémentaires 1) , puis
* - CE2 (cours élémentaire 2) , puis
* - CMI ( cours moyens 1 ) et enfin
* - CM2 ( cours moyens 2 ) dernière classe du primaire où l'enfant passe son brevet le CEPE et le CONCOURS D'ENTREE EN 6e ; cependant un enfant intélligent peut passer ces concours dès le CMI
* - LYCEE / COLLEGE : 7 classes : 6e , 5e , 4e , 3e ( qui est une classe d'examen pour passer le BEPC) ;
* - ensuite viennent la 2nde ,
* - la première ( qui est une classe d'examen pour passer le PROBATOIRE) ;
* - enfin la dernière classe la terminale pour ensuite aller à l'université ( classe d'examen pour passer le BACCALAUREAT )
* - -L'UNIVERSITE enfin avec la première année ,
* - la deuxième année( examen du DEUG) ,
* - la 3ème année ( examen de LICENCE) ,
* - 4e année (examen de MAITRISE) ,
* - puis 2année pour obtenir le DEA et
* - ensuite 3 ans voir plus pour le DOCTORAT
* - ensuite des années en plus pour le DOCTORAT D'ETAT
* - et ainsi de suite pour obtenir L' AGREGATION. Néanmons , on peut faire après sa maîtrise et si on a les moyens le DESS qui permet d'avoir une formation en un domaine spécifique de sa spécialité en seulement 2 ans .
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Le foyer Rouffignac pour enfants aveugles et malvoyants
Le foyer Rouffignac pour enfants aveugles et malvoyantsHistorique:
Il a été créé par un français le colonel "DANIEL de ROUFFIGNAC" en 1980 ; celui ci décède en 1993.Il est repris par un prêtre italien qui sera rapidement dépassé par la gestion du foyer, il finira par jetter l'éponge en 1997 demandant à l'actuelle encadreuse et responsable (qui travaille dans le centre depuis sa création ) de fermer le foyer et de renvoyer les enfants auprès de leurs parents (malheureusement bons nombres d'entre eux issus de familles pauvres avaient été abandonnés par leurs familles, ce qui est encore le cas aujourd'hui. Ne pouvant se résoudre à les abandonner, Mme Atangana Hedwige ( l'actuelle encadreuse et responsable du foyer) avait décidée de maintenir le foyer ouvert et de continuer à s' occuper de ses pensionnaires.
Fondation du Foyer et du centre "promhandicap"
Le colonel de Rouffignac serait arrivé au Cameroun dans les années 60 afin de commencer sa mission d'aide envers les miséreux et les handicapés ; mission pour laquelle il se serait lui -même proposé; cela n'a vraiment pas été chose facile car les choses se sont avérées plutôt difficiles pour lui surtout par rapport à la population assez hostile à son égard .
Madame Atangana va le rencontrer pour la première fois dans les années 70 dans le tout premier centre qu'il aura créé " le centre d'étoug -ébé" car son fils aîné était attardé mental et elle avait fait le déplacement pour yaoundé pour conduire son fils dans ce centre .Par la suite , le colonel de rouffignac va lui proposer de travailler avec lui et c'est à deux qu'ils vont poursuivre le travail malgré les insultes et problèmes dont ils seront victimes de la part de la population ; ils en viendront même à changer de lieu plusieurs fois et même à aller chercher les handicapés dans la rue ;
Petit à petit, ils créeront le centre "promhandicap" et le foyer , Madame Atangana étant devenue le bras droit du colonel .Avant de mourir , le colonel demandera a Madame Atangana de trouver quelqu'un d'autres( un prêtre) qui pourra la seconder dans la gestion du foyer et du centre promhandicap , volontés qu'il consignera par ailleurs par écrit.
Depuis le Décès du Colonel en 1993
A son décès en 1993, elle fera appel au père SERGES, italien d'origine dont on lui aura venté les mérites en 1994 et ils signeront les papiers. Débuteront alors une coopération assez houleuses si bien qu'en 1997 lorsque Madame Atangana prendra des congés, elle trouvera le foyer fermé à son retour ; Madame Atangana s'entendra dire par le père de renvoyer les enfants chez eux et qu'il en a assez de s'en occuper ; néanmoins, il lui dira qu'il continuera à diriger le centre mais sans elle car désormais, elle était viré.
Madame Atangana se retrouvera donc dans la rue avec les enfants et spolié de tous ses biens car le père aura également pris soin de lui faire signer des papiers illicitement afin de lui prendre tout son argent. Dépassée par les évènements, elle tentera de se battre pour récupérer ses biens et ses droits ainsi que sa place au centre, peine perdue, l'ennemi étant beaucoup plus fort.
Elle réussira à trouver un autre local et à s'y installer avec les enfants et même a obtenir les papiers légaux prouvant son existence en 2000.
Depuis 1997 , les rapports entre le foyer et le centre ont donc complètement cessés excepté les coups bas , les calomnies de la part du père contre Madame Atangana qu'il pensait avoir mis sur la paille et sa persévérance et son obstination l'exaspérant au plus haut point .
Par ailleurs, il fera du centre son affaire personnelle pour s'enrichir personnellement en vendant par exemple le matériel à lui envoyé par les organismes internationaux pour être remis aux handicapés ou même en détournant de l'argent normalement réservé au foyer .Pendant ce temps Madame Atangana et ses pensionnaires croupissent dans la misère.
J'ai déjà contacté Madame Atangana pour collecter les preuves et les personnes susceptibles de témoigner en sa faveur. Mais je pense qu'il faudra aussi des preuves pour démontrer le vol qu'il commet au niveau du centre et là ce sera quand même plus difficile. Je vais donc faire aussi discrètement et prudemment que possible ma petite enquête au centre, souhaite moi bonne chance.
SERGIO JANESELLI
Hier , je me suis rendue au foyer Rouffignac pour rencontrer Madame Atangana car elle m'avait appelé au téléphone afin de me remettre les documents qui pourraient nous aider à comprendre ce qui se passe au niveau du foyer et de prohandicam , en plus de celà , nous avons beaucoup discuté , je dirais plutôt que je lui ai posé un certain nombre de question qui m'aura permis d'éclaircir un grand nombre de points sombres .
Dans ces documents , je note une lettre écrite 1mois avant sa mort par le colonel de Rouffignac à Madame Atangana dans laquelle il la mandate de trouver une personne ( un directeur général ) pour gérer le foyer et promhandicap ; un autre document dans lequel le père " SERGIO "( enfin son nom) appartenant à la congrégation des fils de l'immaculée conception accepte selon ses termes "en principes et à certaines conditions " de s'occuper de la gestion de l' association promhandicam ; de quels conditions s'agit t-il?, c'est encore un point à éclaircir ;
il y'a aussi un document du feu archevêque de yaoundé dans lequel celui ci marque sa satisfaction que le père Sergio ait cccepté cette gesion ; viennent ensuite les requêtes introduite auprès du ministère des affaires sociales et une lettre du ministre de l' époque par laquelle elle demande au feu archevêque de l' éclairer sur les conditions d'acceptations du père Sergio , le nouveau statut de promhandicap et les liens juridiques de ce centre vis à vis de la congrégation , le contenu du rôle du gestionnaire , à savoir : le financement , l' administration , la réeducation fonctionnelle , la formation professionnelle et la gestion du foyer ;
en plus, l'apport de la congrégation au fonctionnement du centre promhandicam ; les modalités de '''collaboration avec le ministère des affaires sociales''' et enfin , les propositions concrètes et réalistes pour la résolution de tous les problèmes qui '''bloquent la tenue de l'assemblée générale.'''
Car elle tenait ( le ministre) à rappeler que le centre est une oeuvre humanitaire placée sous le couvert de son département ministériel et destinée à l'amélioration des conditions de vie des personnes handicapées.
Je note également une lettre de Madame Atangana adréssé au feu archevêque' dans lequel elle lui faisait savoir que le vrai propriétaire de foyer est " Christian de Rouffignac " fils du feu colonel et mentionait que le colonel était moine au monastère et qu'elle le considérait comme un missionnaire et pour cette raison , elle se demandait s'il était normal ( vu que le fils du colonel avait demandé à l'archevêque de signer l'admission du père Sergio) que celui ci continue de le gérer à son bon vouloir sans le concours de l'archidiocèse ;
elle notait également que celui ci s'est permis de venir s'installer qu centre promhandicap avec toute sa congrégation , tandis qu'au foyer , la gestion financière était floue et les enfants abandonnés à eux-même.
La réponse de l'archevêque est qu'une convention a été établie entre la famille réligieuse du père Serge et le consei d'administration de promhandicam et que l'archidiocèse n'est ni le propriétaire ni le responsable du centre .
IL reconnaissait également que le foyer Rouffignac est un élement au même titre que l'école des enfants aveugles et le centre de formation professionnellepour handicapés et donc que le foyer n'est pas une antité autonome et qu'elle fait donc entièrement partie de promhandicam; il dis aussi qu'il doute que le père Serge laisse le foyer sans sotien financier ( pourtant tel était et est encore le cas).
Existe également le document demandant la réouverture du foyer après sa fermeture litigieuse ainsi que la liste des membres du bureau exécutif ayant permis sa réouverture , personne clés qui l'ont beaucoup aidé et sont ses aliés et qui par ailleurs peuvent être joints :
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Les membres du bureau exécutif de promhandicam:
* Président: Abbé Joseph Befe Ateba, Tél: 96175560 Yaoundé
* Vice-président: Atangana Françoise (Fille de Marie)
* Sécrétaire: M. NGONO Victor Marie
* Tresorier: Frère Gerold NEFF OGIZ Tél: 22013903 99903372 Monastère
* Trésorier Adjoint: FEGUE NDZIE ( Crescence)
* Commissaire aux comptes: Père Henri Bernard KETTLER Tél: 22002491 Mvolyé Yaoundé
Conseillers:
* 1- Soeur Virginia ( petite soeur de Jésus)
* 2- MBEZOA ATANGANA Hedwige Tél: 77454905 Foyer Rouffignac
Ne faisant pas parti du conseil exécutif mais alliés de Mme Atangana:
* Monseigneur Jean Marie Bala Tél: 77750821 Bafia
* Père Gérard M. Messi Tél: 99837574 Monastère
* Soeur Marie Claire ATANGANA Tél: 96764819 Otélé
* Mme Thérèse MIMFOUMOU PRISO Tél: 22315583 Yaoundé Mendong
Mme Atangana m'a également remis les documents faisant son historique et également un document faisant l'historique du Colonel Rouffignac. Pour les questions que tu m'as posé, ils étaient chassés de part et d'autres au début de leur activité parce que les populations n'avaient jamais vu une opération de formation des aveugles et prenaient le colonel de Rouffignac pour un sorcier. Les relations avec le père Sergio étaient houleuses à cause de certains de ses agissements pour lesquelles Mme Atangana n'étaient point d'accord.
Elle m'a aussi remis un document sur le commencement du foyer des enfants aveugles. Subsistent également un document qui lui avait été envoyé par l'association française RAOUL FOLLEREAU à qui elle avait demandé des subventions à la réouverture du foyer mais pour lequel elle avait été déboutée suite à des informations fausses procurées à cette association par les alliés du père Serge.
La composition du foyer:
Le foyer comprend aujourd'hui près d'une cinquantaine d'enfants tous sexes confondus dont les âges varient de 5 à 18 ans, voir plus à condition d'être respectueux des règles du foyer. Les trois quart des enfants sont des aveugles et des malvoyants, et les un quart restant sont les enfants abandonnés. Le foyer comprend également 2 ou 3 encadreurs parmis lesquels Mme Atangana qui s'occupe des enfants et les instruisent (pour les plus jeunes et pour ceux plus grands qui ne savent ni lire, ni écrire en braille).
L'état du foyer:
Le foyer de Rouffignac est une maison qui comprend 3 chambres, une douche, un salon et une petite cour. Chaque mois, ils doivent s'acquitter les frais du loyer. Deux des trois chambres sont occupés par les enfants du foyer, on y a installé des lits en étages. L'une des chambres donne sur des toillettes traditionnelles construites en planche.
Les chambres sont occupées par les filles et les garçons les plus jeunes. Le couloir menant aux chambres est également encombré de lits en étage, puisque les chambres sont pleines et que les pensionnaires sont nombreux.La troisième chambre est occupée par Mme Atangana. Le foyer compte également une douche moderne. Dans la cour du foyer, ont été construits de chambres en planches où logent les garçons.
La salle de séjour qui tient lieu de salle de classe est également encombré de tables bancs. La cuisine quant à elle se trouve à l'extérieure et derrière la maison. Mme Atangana a également fait construire un abri en planche face à la cuisine et c'est là qu'est préparé au feu de bois le repas des pensionnaires. Les murs du foyer sont décrépis, il y fait sombre et la toiture est en très mauvais état. Malheureusement, Mme Atangana ne dispose d'aucun moyen pour trouver un autre local.
Il faut d'ailleur noter que ce foyer vit grâce à la bonne volonté des âmes généreuses tant pour l'alimentation, la santé, l'éducation que l'habillement de ses pensionnaires. Aucun partenariat n'existe entre ce foyer et une association ou une ONG qui aurait décidé de les prendre en charge. Ils en ont pourtant grand besoin. Et tout accord de partenariat ou d'aide venu de l'extérieur serait vraiment le bienvenu selon la responsable Mme Atangana aujourd'hui âgé de plus de 60 ans.
Madame Atangana
Madame Atangana c'est une dame qui n'a pas d'enfants car les sien sont décédés assez jeunes; c'est parceque l'un de ses fils était attardé qu'elle a d'ailleurs rencontré le Colonel de Rouffignac à l'époque car ce monsieur s'occupait aussi des attardés mentaux ; il y'a dans le foyer une pensionnaire attardé mentale et aveugle que madame Atangana avait trouvé à l'époque dans la rue . cette pensionnaire était encore un bébé ,sa mère l'avait mise au monde avant de la déposer dans une rue et de s'enfuir.
On la voit d'ailleurs très bien sur les photos , elle est devenue la fille adoptive de madame atangana.Ce qui est certain, c'est que je lui ferais part de votre admiration bien qu'actuellement , elle soit malade car elle a de la tension.
Les enfants du foyer
Les enfants du foyer sont des enfants venus des différentes campagnes du cameroun , des 4 coins du cameroun ( nord, sud ,est ,ouest) ; ce sont des enfants de parents très pauvres qui n'ont pas les moyens de s'en occuper alors, ils viennent les laisser à la charge de la maman , sans cependant rien lui laisser (ni argent , rien ,absolument rien. Elle accepte tous les enfants de 5 à plus à condition de bien se comporter pour les adolescents.Au foyer , elle a trouvé l'aide d'un vieux maître volontaire qui vient initier les enfants au brai ; après cet apprentissage, Madame Atangana réussi à les inscrire dans les écoles , lycées et collèges en comptant sur la bonne volonté des proviseurs et même des âmes charitables ; ils ne vont pas dans des écoles spécialisés , mais dans des écoles normales.
Le foyer est aussi une école
Je disais donc que le foyer est en fait aussi une école ; les enfants qui arrivent dans ce foyer sont issus de familles très défavorisés ; et donc, les parents les laissent à l'entière charge de Madame Atangana. D'autres parents pensent quand même à remettre un petit quelque quelque chose à madame Atangana lorsqu'ils amènent leur rejeton au foyer , tandis que d'autres ne donnent absolument rien.
A partir du moment où les enfants sont au foyer , c'est Madame Atangana qui se débrouille pour assouvir tous leurs besoins .Sur le plan scolaire, ils sont pris en charge par un vieux maître qui leur apprend à lire et à écrire en braille , cela veut dire qu'ils passent toute leur études primaires au foyer et lorsqu'ils arrivent à la fin de leurs études primaires, ils sont présentés au brevet d'études primaires qui est le diplôme au Cameroun permettant une fois qu'on l'a réussi de s'inscrire au lycée.
Ils vont donc à cet examen avec une machine à écrire normale parce qu' il n'ya pas de maître spécialisé en braille pour corriger les feuilles des candidats ; raison pour laquelle il leur faut des machines à écrires normales pour apprendre la méthode de frappe à l'aveuglette et passer les examens et autres intérrogations écrites une fois qu'ils arrivent au lycée et même pour faire leur devoir de classe.
Une fois qu'ils réussissent à passer leur brévet , ils sont inscrits au lycée ou au collège grâce à l'argent que Madame Atangana reçoit des bonnes volontés ou même de la bonne volonté de certains proviseurs de lycées et collège ; mais à elle de se débrouiller pour leur obtenir le matériel scolaire.
Au lycée, ils prennent les cours en braille mais passent les différents examens an tapant sur leurs machines à écrire .Certains réussissent même à s' inscrire une fois le baccalauréat obtenu à l'université.Nos avons connu d'ailleurs un jeune pensionnaire du foyer qui aujourd'hui est inscrit à l'université.Malheureusement, ils ne bénéficient d'aucun cour de répétition, d'aucun enseignement supplémentaire et Madame Atangana nous a d'ailleurs fait remarquer qu'ils accusaient beaucoup de lacunes.
Chose positif, on leur apprend à faire des objets en rotin , je pense que c'est vraiment bénéfique pour eux et que peut-être avec le temps, on pourrait leur créer un atelier de fabrication d' objets en rotin.Je t'ai envoyé , je pense la liste des fournitures scolaires dont ils ont par ailleurs besoins.Et puis, j'essaye de trouver sur le net des associations qui seraient aussi susceptibles de nous aider à venir en aide au foyer.Samedi, nous avions parlé d'un sujet assez délicat sur le budjet de l'association , mais franchement je pense que c'est une chose sur lequel on devrait tenir compte plus tard ; tu avais raison sur beaucoup de points et de plus pour moi, ce qui importe , c'est de venir en aide à ces enfants et à cette bonne âme qu'es Madame Atangana.
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